Rencontre avec Michael Roch autour de son livre Tè mawon,
paru aux éditions La Volte.
Dans un monde déchiré entre pandémie, fascismes et sécheresse, Lanvil, mégapole caribéenne, semble un modèle humaniste hyperconnecté – mais des habitant.es de l’anba dénoncent la mascarade et organisent la résistance du Tout-monde.
À travers ce marronnage cyberpunk, l’auteur nous livre un récit afrofuturise décolonial et créole irrigué par une langue hybridée et imprévisible.
Un roman insurrectionnel, première pierre d’un afrofuturisme caribéen francophone