Rencontre avec Myrtille des Giménologues, autour du livre (Nouveaux) enseignements de la révolution espagnole, juillet 1936-septembre 1937, troisième volume de la trilogie Les chemins du communisme libertaire en Espagne : 1868-1937, paru aux éditions Divergences.
Réservations à partir du 17/10 par mail, téléphone ou directement à la librairie.
« Jusqu’à quel point le mouvement révolutionnaire fut il responsable de sa propre défaite ? » demandait Vernon Richards en 1953.
Dans l’Espagne de 1936, que restait-il du projet communiste libertaire après le 19 juillet quand en le propulsant en Catalogne, en Aragon et en pays valencien, un certain nombre de militants de la CNT-FAI se rendirent compte qu’ils agissaient à contre-courant de leur organisation ? Comment parler encore de sortie du capitalisme quand un syndicat anarcho-syndicaliste « collectivise » le secteur productif sous l’égide de l’Etat, incite la classe ouvrière à s’adapter « au panorama économico-industriel du monde », et repousse aux calendes grecques l’abolition du salariat ?